ne vous inquiétez donc pas et ne déduisez pas de ma looongue absence un quelconque désintéret de ma part… en réalité, c’est tout le contraire, je nous prépare un nouveau chez-nous où tenir Salon (mais si voyons, est ce qu’on est pas là à lancer des vannes en se piquant de critiques littéraires tout en dégustant des petits gateaux? bon alors, un salon je vous dis..) …je vous épargnerai le récit des galères correspondantes, entre le webmaster qui ne parle pas la langue d’administration du site, l’importation qui foire, les trucs alignés qui d’un coup bing, ne sont plus alignés… mais on va y arriver… j’ai déjà démontré ma ténacité pour des tâches bien plus barbantes et répétitives que de copier-coller 350 articles et 2400 images hin hin (tu la sens l’aigreur dans ma voix?) …en attendant, il va falloir patienter encore un peu et supporter le design moche local, les pubs qui s’invitent et même peut-être quelques pop-ups intempestifs.
Sinon, pour ce qui est des nouveautés, il va falloir attendre aussi un peu (décidément) (mais cette attente sera récompensée au centuple!) (n’importe quoi), d’autant qu’entre un nouvel épisode fiévreux (non mais c’est fini oui?) (ils sont où les méga-anticorps que devait m’apporter ma précédente grippe?) et une nouvelle collaboration prometteuse qui s’annonce, je vais sans doute avoir du mal à cumuler boulot+copiage/collager intensif+mise à jour ici…
Quelques mots tout de même sur l’expo Rodin à Legnano vue dimanche dernier… un des trucs amusant quand on vit dans un autre pays, c’est de constater à quel point des personnages qui nous semblent des incontournables peuvent être ailleurs de parfaits inconnus… ça marche avec Jean-Jacques Goldman, Johnny, Louis de Funès… et Rodin (notez l’escalade dans l’énumération…)… même pour les gens ayant fait des études d’art, ce nom n’évoque pas grand chose… et c’est amusant que la première exposition Rodin en Italie se soit tenue, non pas à Milan ou Rome, mais à Legnano, obscure banlieue à 1/2h de train de Milan…







Etre invitée à faire de la figuration : non merci ! tu as bien fait de rester en hauteur.