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Envie d’un petit vrac… trop chaud, trop de choses à faire pour écrire quelque chose de bien cohérent… (j’ai plein de billets en brouillon, ils devraient être prêts dans la semaine, mais en attendant, il faudra vous contenter de n’importe quoi…)

L’été s’ra chaud, l’été s’ra chaud…

J’ai ressorti le ventilateur du haut de son placard de cuisine, c’est tout simplement prodigieux (et ça m’oblige à faire le tri dans tous les papiers qui trainent sur mon bureau, sous peine d’envolée vespérale)

Dernier dilemne en date du week-end: qu’est ce qu’on fait samedi? On va au lac de Côme regarder passer les voiliers comme celui sur lequel on était le week-end dernier, ou plutôt à la piscine découverte toute proche exhiber nos bonnets de bain kitsch, ou encore on pousse jusqu’à la mer pour rincer la poussière du train dans l’eau tiède? De l’eau, de l’eau!

Après la Scala et le voilier, me voilà invitée à un voyage presse pour assister à un tournoi de golf… vous savez quoi, je décline hein, sinon le week-end prochain je vais vouloir faire du cheval, le suivant me faire masser, le lendemain partir en croisière… (et puis la pétanque c’est tellement plus in)

Le 2 juillet (samedi) c’était ici le début des soldes… du coup la piscine était déserte… (et j’ai un nouveau short rose) (et aussi un t-shirt un peu ridicule avec « I am little marc » écrit dessus, ce qui ne signifie rien (du coup j’aime bien))

It’s a cruel, cruel summer…

J’ai revu le médecin la semaine dernière, qui reste persuadé que j’ai eu une inflammation du pancréas, nonobstant les résultats d’analyse… N’empêche, si mon estomac va mieux, c’est dûr quand arrive l’été de ne pas pouvoir se gaver de cerises, pastèques, tomates et mojito (oups, mais madame vous buvez!) (non mais t’as vu j’arrive à reboire du café…)

Je ne sais pas pourquoi, mais comme chaque année quand arrive sur la ville cette nuée de chaleur et de moustiques, j’aime à nouveau Milan à la folie (comme quoi, même sans Mojito…) peut-être parce que j’en ai récemment, et comme cycliquement, entendu dire tant de mal par des gens qui ne se donnent pas la peine de la connaître… C’est à se demander ce qu’ils appellent une chouette ville, les gens… Moi je dis (oui, moi je), cette ville vaut le coup, ne serait-ce que parce, depuis qu’ils ont remis de l’eau dans le port de la Darsena, on a droit à de poétiques concerts de grenouille à la nuit tombée tous les jours…

Voilà. C’est tout. C’était n’importe quoi. Mais je vous avais prévenus.