Un week-end tout en contrastes, entre la pluie battante de samedi et dimanche et le soleil d’aujourd’hui, entre la super expo « Quali cose siamo » à la Triennale réunissant des objets de toutes provenances ayant comme point commun un caractère particulier d’unicité (prototypes, oeuvres d’art, pièces uniques, objets et reliques insolites…) et celle plutot nulle du Palazzo Reale « Goya e il mondo moderno », qui à part un spectaculaire tableau d’Anselm Kiefer et quelques encres de Victor Hugo, ne me laissera pas un souvenir impérissable… entre deux livres médiocres (« les deux vieilles filles » de Tommaso Landolfi et « les mémoires de Maigret » de Simenon) et un plus prometteur commencé (« Malavita encore », que le mec a voulu lire d’abord mais s’est fait pardonner en me concoctant une parmigiana à faire pleurer Benacquista lui-meme)… entre la cape et le parapluie de dimanche et les gens en short ce lundi…
Et pour concilier le tout, la confection dans la nuit de dimanche à lundi de chocolats de Pâques, avec de moules en métal et du délicieux chocolat noir, un remplissage dans les règles de l’art et un assemblage au serre-joints pas très académique…