Après le livreur d’eau et l’emboiteur de pavé, voici un autre de ces petits métiers qui foisonnent à Milan et paraissent presque incongrus à l’heure du télétravail et des relations virtuelles, celui du laveur de vitrines… Toujours à vélo, pédalant dangeureusement avec son échelle en appui sur l’épaule avec, calé sur la poignée de frein du guidon un seau, lui même contenant raclette, éponge et journaux…
Peu avant les vacances, j’ai réussi pour la première fois à en prendre un de vitesse, et à dégainer l’appareil photo avant que sa silhouette vascillante ne disparaisse au coin d’une rue…
C’est périlleux !
Lui, j’image que c’est trop un ouf! =)
J’adore ces petits métiers qui donnent de l’humanité à notre société !
Je trouve ça émouvant !