Quand on étudiait Le grand Meaulnes d’Alain-Fournier à la fac, on parlait du personnage central, Augustin Meaulnes, comme de « l’homme des seuils ». Toujours entre deux portes, deux lieux, passant de l’enfance à l’âge adulte, de la réalité triviale de l’école au pays perdu imaginaire, de l’action au récit.
Des passages, des entre-deux, des moments et des lieux d’attente, des seuils quoi.
Même si ça fait un moment que j’ai quitté l’adolescence, je crois que je suis, moi aussi, une femme des seuils. Toujours à attendre la suite, la rentrée et de nouvelles aventures.
En toute logique, vous voilà avec une photo de mon couloir d’entrée et des trois seuils des pièces qu’il dessert avec leurs sols respectifs. L’aventure en prend un coup, j’avoue 💃🚪