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Nouvelles de la bronchite: moyennes… à croire que mes diverses techniques d’auto-médication, bien que rodées, laissent à désirer… ce qui ne m’a pas empéché de filer à une sorte de grande braderie musicale du frou-frou dimanche pour y rencontrer la grande Zelda, à qui m’a foi il semblerait que j’aie fait grande impression (ou serait-ce ma voix cassé et la toux qui me donnent un indubitable coté ethéré (ça y est le délire reprend on dirait!)).

Quoiqu’il en soit, ce soir je brave la bronchite pour tenter d’aller voir L’illusionniste de Sylvain Chomet (que je ne pouvais pas décemment louper), pourchassé en vain dans les programmes des cinémas cet été et que les italiens se décident enfin à diffuser… (mais pas en VO… soupir)

Concernant Moby Dick, la fameuse baleine est enfin apparue,
« -Elle souffle! Elle souffle!!! Une bosse comme une colline de neige! C’est Moby Dick! »
…après très exactement 694 pages d’attente insoutenable pour un final époustouflant de 37 pages qui vaut bien, et de loin, les digressions précédentes…

Et puis aussi, j’apprends que les secteurs qui recrutent fortement en Italie sont, outre les serruriers, les boulangers et pastai (ceux qui font les pates), ce qui me fait envisager avec sérieux une éventuelle reconversion… (ils cherchent des tailleurs de pierre et de marbre aussi, mais j’avoue me sentir moins inspirée)…

Et je n’en finis pas de m’emerveiller de la poésie trouvée dans ces quelques mots dans mes stats (orthographe mise à part):  « quand je met du bleu ça ne veut pas dire que c’est le ciel »…